La réussite de MAMADOU ANTONIO SOUARE, rempart de la jeunesse, du sport, des arts et de la culture, dépend en grande partie de sa volonté et de sa disponibilité à servir sa Patrie, ses compatriotes et le reste. Il n’est pas exagéré de dire qu’Antonio Souaré est l’un sinon le plus grand opérateur économique du pays. Que ce soit dans le domaine des arts, de la culture ou du sport, il imprime à tous sa détermination pour leur rayonnement. Aujourd’hui il a offert des milliers d’emplois directs et indirects à la jeunesse, afin de lutter contre l’exode et les chemins de l’Europe. Combien de personnes déshéritées ont édulcoré leur existence à travers les jeux de hasard de Guinée Games, combien de familles sont aujourd’hui à l’abri de la pauvreté par le travail de leurs fils, époux et papa dans cette société bienfaitrice ? On se demande réellement le but de cet acharnement contre cet homme dont le seul plaisir est d’apporter pour son pays le maximum de possibilités pour son rayonnement.
Le Stade Général Lansana Conté offert par la coopération chinoise a longtemps demeuré dans l’abandon car, l’Etat ne s’en souciait que peu. C’est grâce à ce patriote hors pair, que ce stade est devenu fréquentable et normalisé. Il y a investi des milliards de francs guinéens pour apporter les matériels de dernière génération pour sa modernisation. En ce moment même, il est en train d’y installer des fauteuils pour les spectateurs. Comment peut-on alors écarter un tel homme dans la gestion de ce stade qui, sans lui ne serait même pas homologué, pour nommer des parvenus de la transition ? On a l’impression que tous les opérateurs économiques guinéens qui font la fierté du pays sont visés par le CNRD pour quel motif on l’ignore.
Une junte au pouvoir ne bénéficie d’aucune confiance, d’aucun soutien des partenaires techniques et financiers car, elle n’émane pas d’une volonté populaire. C’est la fermeture de ces robinets qui sème la panique au sein du CNRD qui voit son incapacité prochaine à assumer ses devoirs car, les caisses de l’Etat ne seront plus à mesure de supporter cette charge. Il faut donc s’en prendre aux actions de ces opérateurs pour les nationaliser, pensant peut-être que cela pourra les sauver. Le CNRD ignore certainement que le développement du secteur privé est le plus sûr des facteurs de stabilisation et de développement de l’économie nationale. Autrefois les annonces radiotélévisées avaient un impact sur les populations mais, aujourd’hui elles se sont rendues compte que ce ne sont que des sketchs publicitaires. Les sorties médiatiques de la Direction de LONAGUI prouvent à suffisance son incapacité et son impuissance à créer son propre jeu au lieu de s’en prendre à celui qui a été initié et développé par Antonio Souaré.
Si le CNRD s’entête à vouloir absolument retirer Guinée Games, la déstabilisation des milliers de parieurs et travailleurs de cette société aura une conséquence dramatique pour le pays. Déjà de nombreux guinéens commencent à s’indigner pour cette décision qui n’honore point la junte. Quand les autres pays valorisent des guinéens en reconnaissant leur capacité managériale et leur détermination à créer de l’emploi pour les jeunes, on voit mal alors cet acharnement contre les opérateurs économiques du pays. On a l’impression que certains guinéens sont jaloux de l’avoir ou de la réussite de leur compatriote, le cas d’Antonio Souaré en est une parfaite illustration. Que serait la ligue de football professionnel guinéen sans l’apport et le soutien du mécène Antonio Souaré ? Quand l’Etat n’est pas à mesure de donner la moindre subvention, quand il est incapable de réaliser les infrastructures sportives, pourquoi alors nuire à ceux qui sont disposés à le faire.
Le niveau atteint par le championnat national est impressionnant, il est parmi les huit meilleurs du continent, cela grâce aux initiatives salvatrices d’Antonio Souaré. Il a le sens des affaires et son patriotisme est indubitable. Il aurait pu réaliser ou s’investir dans d’autres pays mais, son amour pour la patrie l’en a empêché. Un Etat ne peut pas tout faire, même dans les pays les plus développés le secteur privé est la rampe de lancement de l’économie nationale. La Guinée a opté pour le libéralisme économique, cela a favorisé la production nationale de nombreux biens de consommation. Faut-il encore compromettre cet élan pour retomber dans la situation léthargique du passé, cela est la pire des absurdités. Le CNRD veut s’abattre sur les opérateurs économiques comme un oiseau rapace qui s’attaque à sa proie.
L’anxiété, l’angoisse et le désarroi des milliers de personnes qui n’ont pour seul espoir que cette entreprise bienfaitrice, reflètent aujourd’hui leur déception et leur haine pour le CNRD. A chaque instant, autant ils formuleront des bénédictions pour leur mécène, autant ils fredonneront des malédictions contre ceux qui veulent nuire à leur existence, à leur équilibre morale et social. De mémoire de Guinéen, aucune entreprise mise à la disposition de l’Etat n’a rayonné, en témoignent : la SOGETRAG, SOTELGUI, SOTRAGUI, SOGEL etc. Le PMU qui a subi le même sort se désagrège lentement et nombreux de ses travailleurs ont été récupérés par Guinée Games. Il y a assez de jeux de hasard, pourquoi la LONAGUI ne pourrait-elle pas initier un autre type que de fondre sur ce que les autres ont initié et développé ?
Cette nationalisation n’est pas une nécessité mais, plutôt une volonté manifeste de nuire à un homme dont la réputation est préjudiciable à leur essor. Une junte au pouvoir n’est ni légitime ni légale, elle ne peut donc pas jouir des avantages d’un régime issu d’une volonté populaire. Ce n’est pas parce que c’est une période d’exception que le CNRD peut se permettre tout. Il est là pour une période transitoire, ses prérogatives et sa mission sont bien limitées. Aujourd’hui, le nombre de frustrés dans tous les domaines de la vie nationale connait une forte explosion et cela se mesure par les mouvements de contestation et de protestation qui sont en train de sourdre au sein des populations.
Pour des millions de guinéens, Guinée Games est leur espoir, ils n’entendent pas qu’il passe dans une main autre que celle de son fondateur Antonio Souaré. Les Parieurs, les travailleurs de cette société, les sportifs, les artistes et les centaines de déshérités qui jouissent des bienfaits de cet homme ne cesseront jamais de maudire toute tentative de déséquilibre de leur vie.
Si le CNRD ne peut pas faire comme Antonio Souaré, qu’il le laisse continuer ses actions au bénéfice des millions de ses compatriotes.