Après avoir été membre de la fédération de l’Afrique-occidentale française (A-OF) depuis 1904 et avoir obtenu une autonomie administrative relative en 1956, la Guinée rejette la proposition d’entrer au sein de la Communauté française et proclame son indépendance le 2 octobre 1958.
La Guinée prend son indépendance de la France le 2 octobre 1958, ce qui en fait le premier pays de l’Afrique française à le faire. Fort de 4,5 millions habitants à l’époque, la Guinée est une république.
Feu camarade président Ahmed Sékou Touré, né le 9 janvier 1922 à Faranah (Haute Guinée) est le premier président de la république de Guinée, il était un panafricain et homme d’État Guinéen, assurant cette fonction de l’indépendance du pays 1958 à sa mort le 26 mars 1984 à Cleveland (États-Unis).
Une semaine plus tard, le 3 avril 1984, un coup d’état militaire dirigé par le feu président Lansana Conté renverse le gouvernement.
Le 19 décembre 1993, élection du Général Lansana Conté à la présidence de la Guinée, avec 51,7% des voix. Un élan de démocratisation, marqué par l’adoption d’une nouvelle Constitution en décembre 1990, souffle sur la Guinée, permettant au Général Lansana Conté d’être au pouvoir.
Le 22 décembre 2008, décès du président Guinéen le Général Lansana Conté.
Après 24 années au pouvoir, le président Guinéen décède à l’âge de 74 ans.
Le 7 novembre 2010, Pr Alpha Condé élu à la présidence de la Guinée après la mort du président le Général Lansana Conté et l’exil du capitaine Moussa Dadis Camara, une première élection présidentielle considérée libre se tient en Guinée en 2010. Elle porte au pouvoir l’opposant historique le Pr. Alpha Condé, mais les résultats sont assombris par des violences entre les partisans des candidats au second tour.
Le 11 octobre 2015, Pr Alpha Condé réélu à la présidence de la Guinée Cinq ans après son arrivée au pouvoir.
Le 5 septembre 2021, La prise effective de responsabilité de l’armée, renverse le président Pr Alpha Condé au pouvoir en Guinée depuis 2010, Pr Alpha Condé renversé par des militaires dirigés à sa tête le lieutenant-colonel Mamady Doumbouya. le Pr Alpha Condé est arrêté et les institutions dissoutes, alors le Comité National du Rassemblement et du Développement (CNRD) s’engage à tenir « une transition transparente et inclusive ».
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